Dans le pin l’oiseau
se dépeint et puis parle
des aiguilles et des fruits
qui tissent lentement l’ombre
des frontières floues de la lumière
dans le ciel son envol cherche
le souffle de feu qui lui permet
l’absence
de battements d’ailes
l’haleine qui descend de la montagne
et va jusqu’au murmure vague de celle
qui brouille les pistes et célèbre infiniment
les mystères de l’univers
merci magnifique cet écrit 😉