
La porte s’ouvre
seule
entrent venus du jardin
un ange et le chat
l’un est un ruisseau
un filet d’air
la voix d’une vague
peut-être
l’autre est comme toujours
en lisière du silence
il est le seul
à voir à savoir
l’ange sort mais reste
comme la longue queue d’un cerf-volant
le chat
qui cherche la caresse d’avant le rêve.
trop frais et mignon bravo et merci:)