
Debout sur le dos de la colline
quelques indiens et leurs chevaux
des champs de plumes et de cris
dévalent les pentes et avalent au passage
des morceaux de ciel des bribes de soleil
ailes ouvertes filtrant la lumière le milan
les moléculaires moucherons les fils des épeires
En mer d’écueil en écueil les vagues évitent la mort
et moi tous les mots qui font peur
🙂