
La mer est telle que le ciel
est devenu un fantôme
au loin les îles sont des pièces d’étoffes bleues
épaules bras hanches mains étaient des calanques
la mer tellement souple
ses vagues
à peine soufflent une suite
à la nue
se soulève en moi l’immense doute
depuis que je suis née ce poulpe
glisse son amertume dans mes soutes
la mer fille des flammes
pleure
Poème et image superbes ! J’ai bien aimé les deux.
Bonjour Lievenn, je viens de relire un de vos commentaire sur mon blog, daté de 4 ans… Etais-je autiste pour être passé à côté du votre ? La thématique évanescente de cette mer et cette faune marine me plait à mourir. Merci.
Bonjour Lievenn, je viens de relire l’un de vos commentaires sur mon blog, daté de 4 ans… Etais-je autiste pour être passé à côté du vôtre ? La thématique évanescente de cette mer et cette faune marine me plaît à mourir. Merci.
Je ne sais pas si vous étiez autiste de toute façon on ne choisit pas de l’être ou de ne pas l’être. Merci pour votre lecture et vos commentaires.
votre blog est vraiment très beau.