Octaves

Jorinde Voigt, Konstellation 4 Horizonte I-II, (2012)

sur la mer il n’y a rien

qu’un immense nuage gris perle

en moi je sens bien

que demeure éternel

un poulpe géant

berçant ses huit bras tentaculaires

 

sur la mer il pleut

d’infimes touches

ébène et ivoire

la pluie est une pianiste

ses mains sont remplies

de larmes

Une réflexion sur “Octaves

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