
sur la mer il n’y a rien
qu’un immense nuage gris perle
en moi je sens bien
que demeure éternel
un poulpe géant
berçant ses huit bras tentaculaires
sur la mer il pleut
d’infimes touches
ébène et ivoire
la pluie est une pianiste
ses mains sont remplies
de larmes
Quasi haïku ! L’ambiance y est en tout cas…