
Le vent m’arrache les larmes des yeux.
Le ciel vient les boire dans les creux.
Mes rêves seraient des fontaines pour les nuages,
à moins que ce soient mes pensées évadées
qui épuisent leurs sources?
Le vieil automne porte sur l’arrête osseuse de sa colonne vertébrale des montagnes bleues.
Non, je ne veux m’associer à cette cruauté de voler les larmes de l’été!