Ton corps comme un nuage en fleur est allongé près du mien. De petits papillons aux ailes transparentes comme l’air le butinent fébrilement.
Ton rire, ton souffle, tes parfums forment des tiges et des enlacements plein de nuances.
Mon corps devient celui de la nuit et puis celui tout petit de l’arapède sur le rocher. Une invisible certitude nous lie l’une à l’autre. Nous échangeons nos plus précieux baisers comme des perles sacrées.
La lune et toi, partagez la même lumière, les mêmes silences, la même éternelle assurance.
Merveilleux…