
Ce n’est pas la forêt qui crépite
sous le fouet fougueux du feu
ce n’est pas la brindille qui refuse
de se plier et meurt à chaque fois
que j’avance d’un pas
ce n’est pas un torrent de chuchotements
ou mes souvenirs qui tentent de se frayer un chemin
vers l’oubli
c’est la pluie
qui n’en peut plus
Un sens de la beauté – et des moineaux – très singulier ! Poème superbe. On ne s’y habitue pas pourtant !!!
Excellent !