Dans le cri d’un oiseau
le ciel bascule
et se met en mouvement
il se met à pleuvoir
de ces questions qui ne me mènent
nulle part
Est-ce une tâche à laquelle il faut
que je réponde
alors que pour échapper à la guillotine
de mes pensées j’emprunterais
tous les sentiers
je ne peux vivre dans ce scaphandre
dont le cordon ombilical
me lie si insidieusement
aux profondeurs froides
Beau début, forte attaque ! Enfin dans les scaphandres on est à l’abri de… la pluie.