Comme tu t’enfonces
et concentres contre toi
la douceur brûlante et presque ignorée
mon antre secret est dévoilé
et ta langue recommence son errance
et s’échine
oh quel silence
quand ton corps se penche
et qu’il a bu
à ma source blanche
oh quel silence dans nos corps
repus et noués
pour une éternité.