
Sur la mer se pose
une île imaginaire elle décrit comme
s’ils étaient des fantômes les autres
continents parfois très grands
ce qu’elle a à dire
revient presqu’au
silence
Elle résume l’île le néant
invisible à celles qui ne contemplent rien
l’île liquide s’écoule se gonfle recèle
s’éteint revient comme
si elle
n’était qu’un simple courant marin
parcourue par la lumière