C’est un jardin qui n’arrête pas de s’écrire
Sans limite les feuillages bercent le ciel
et la mer parfois
lui propose des teintes veloutées
et oranges
Sur les branches comme des notes de musique
sur une partition les oiseaux
Sous les pierres chaudes les geckos
des bracelets d’émeraudes
s’échappent et glissent dès que le soleil bouge
Quel beau jardin ! Ravisssant !