
Le soleil joue avec les pièces de cristal
réfugiées en mon for intérieur
de petits poissons étalent l’arc-en-ciel de leur flamme
un rayon les fait progresser tranquillement
un morceau du vent les affole
voilà que ce délicieux chatouillement de la beauté
m’emporte pour un voyage dans le temps
Pourquoi faut-il toujours que ce soit la pagaille
au fond de moi