
Le temps s’est arrêté sur tes lèvres. Il a décidé de ne pas aller au delà de ta voix.
À elle seule, elle comprend le soleil et la mer Méditerranée quand elle est turquoise,
quand elle est d’un bleu presque noir.
Ailleurs, rien ne semble plus avoir d’existence
c’est comme si les souvenirs devenaient saouls,
les jours mous, les nuits floues.
Comme le monde est désormais désuet et ridé d’inutilités.
Tu modules l’air libre pour que l’avenir soit : félin infiniment féminin
déposant partout ses traces de silence.
J’aime tout dans ce poème excepté un « plus » qui me semble en trop
Ailleurs, rien ne semble plus avoir d’existence :
ne serait-ce pas assez clair ?
Si, merci