Je voyage et ma route est gorgée de nuages
elle me trouble
elle me fait entrer dans une valse de mirages
je ne suis plus qu’un pétale
papillon sans ailes
lueur pourpre et presque sauvage
je ne fais partie d’aucun bouquet si ce n’est celui du vent
Joli comme une vanesse ilio !
Et à ce vent qui porte, allant avec lui à travers ciel.