Dans le ciel
il y a les points lumineux des étoiles
l’agitation permanente du néant
des lueurs finissent de poursuivre des trajectoires
il y a ce qui ne porte plus de nom
qui suinte qui sombre qui se décompose
Dans le ciel il y a le silence libre à l’infini
la houle dévore le temps
et à la dérive
il y a moi arborant autant de pétales que la nue
et dans le désordre
mon acuité se clone perpétuellement
Vous vous clonez en six ?