Sur les opaques chemins des vérités humaines
tu laisses fuir en mouvements lents la ténuité
Quel est donc celui qui prendrait le temps
pour te reconnaître
sans te dénuder
apprécier tes évasements sans briser
ta volonté de ne viser que la lumière
à petits feux fluides
à l’ombre d’un geste qu’on récite aux cieux comme une prière
qui donc laisserait le temps te contourner
pour te laisser épouser
le vide
supervachement mystérieux !!! À méditer avant de l’éditer…
Très beau texte !!!
Merci