En cet instant inaltéré de ton être
le trait noir et franc
de mon galop
et la courbe folle de mes hanches
tes lettres comme la trace de mes sabots
rythmant
le temps
mon encolure souple et ta caresse dissoute
par le vent dans l’incendie
chatoyant de ma crinière
rien ne nous force à devenir
comme tous ces chiens
dressés pour la morsure.
Superbe ! Et pas que Mozart…
oui vraiment, superbe, et pas que Mozart!
(état d’étonnement)