Il pleut des nœuds, il pleut de coupantes petites lames
il pleut des points, il s’écoule des vrilles.
En aval, il y a, enfermé dans sa boîte,
le labyrinthe malade et maladroit de ma petite personne.
Il traîne à l’autre bout de mon âme
de longues lianes. On pourrait les prendre pour des lignes
ou des tentacules de lave.
Dans le brasier de mes larmes,
grésillent toutes les solitudes humaines et la folie.
Comme un coup de fouet à l’impotence froide de la réalité,
écoutez comment le cœur aboie quand il a soif.
Hmm tentacule est masculin.
Je remonte à la source, quatre ans après, pour laver mon amnésie.
Découvrir.
Merci, j’ai modifié. J’aimerais que tant de mots soient féminins. Voilà ce qui arrive quand je prends mes rêves pour la réalité.