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Les arbres au bord du monde sont sur le point de se fondre à l’absence
Il ne nous restera pas même le squelette de leurs branches
les vents et les pluies ont fait fuir les prairies et les rires
des fleurs
il ne nous reste plus que le temps soudé à un lit d’hôpital devenu presque vague
il nous montre son dos
doux comme celui des collines pour le regard ému qui porte des larmes
dur muet et lâche pour celui qui n’a plus ni les armes ni l’espoir
J’applaudis. Et au choix de l’arbre, également – le plus intéressant de la série. Ensemble remarquable comme toujours !