Une ombre mutilée règne comme une araignée
sur les voies que les veines suivent
pour entrer dans les poumons
elle déteint
pour ne former plus qu’un rocher
de cette région froide l’élancement du silence
part en spirale à la conquête de l’infiniment petit
atteint les plages sacrées de l’âme
comme une armée de lambda
Marrant, je me sentirais presque visé ! Quoiqu’il en soit, merci pour ce très bon poème.
C’est probablement le cas. Merci pour vos visites et votre commentaire.
Merci à vous de même, et encore pour ce poème : il est très juste, me parle et me touche beaucoup.
Et ce clip de Björk est sublime !