Le vent froisse les tissus de feuilles,
agite les branches des arbres comme s’il s’agissait de cheveux.
Qui donc entendrait encore le bruit de ta larme,
le pli qu’a pris soudain ton cœur parmi tout ce vacarme ?
Faut-il que le temps s’agite et grince de la sorte pour réveiller l’humain en toi ?
Faut-il qu’il frappe à ta porte pour qu’enfin tu sortes tes armes ?